| |  À la Direction des Affaires Criminelles et des Grâces, le JugeFontanes représente le dernier espoir des condamnés. Il estchargé d'étudier les dossiers de recours en grâce etd'enquêter sur les affaires délicates. Magistrat sensible, àl'écoute et mesuré, il se heurte souvent à sa hiérarchie, notamment Le Cardonnois et Taybosc, qui le jugent tropcompatissant et laxiste. Pourtant, Fontanes est un enquêteurhors pair qui éclaircit de nombreux dossiers très complexes. . . |
| | |  Alain, sa soeur Véronique et son ami Bruno sont en vacances. Tandis que les garçons pêchent, Véronique cherche de joliscailloux. Elle remarque bientôt que trois hommes pénètrentdans la grotte toute proche et creusent un trou. Lorsqu'ellerevient avec les garçons, les hommes ont disparu mais lesenfants découvrent une empreinte dans le sol de la grotte. Ilsen font un moulage et découvrent que l'empreinte est celled'une statuette de la déesse égyptienne Nefertiti. Les enfantsvont alors se lancer à la recherche de la statuette. . . |
| | |  Fille unique d'une famille de paysans, Adélaïde Fouque devientorpheline à la mort de son père, causée par la folie. Elleépouse alors le jardinier Rougon, qui lui donne un fils :Pierre. Mais à la mort de son mari, elle prend pour amantMacquart, un contrebandier ivrogne et brutal. De leur unionnaissent deux enfants : Antoine et Ursule. Pierre hait l'amantde sa mère et les bâtards qui risquent de lui dérober sa partd'héritage. Après la mort du contrebandier, tandis que sa mèrese trouve peu à peu gagnée par la folie héréditaire de safamille, Pierre dépouille son demi-frère Antoine. . . |
| | |  1782, Raoul de Blossac arrive à Bordeaux, sans le sou. Ilcompte y rejoindre son cousin le Comte Philippe de Blossac, gentilhomme très en vue et amant de la Marquise de Beauséjour. Mais Philippe est tombé éperdument amoureux de Sarah, unebelle jeune femme juive, qu'il a épousée en secret. Folle dejalousie, la marquise cherche à se venger. Avec l'aide de soncousin Raoul, Philippe ve tenter de déjouer ses plansmachiavéliques. . . |
|
|
